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Nous étions près de 238 ASEFTIENS en tribune au Zénith de Clermont-Ferrand. Un Week-end inoubliable, beaucoup d'émotions, une superbe ambiance. Nous remercions le public de Clermont-Ferrand qui a participé à cette très belle fête. Merci aux ASEFTIENS pour cette belle tribune bleue !
Vous pouvez déjà consulter les photos de ce Week-End dans la rubrique Photos.
L'équipe du CA est déjà en plein travail pour cette demi-finale, pour vous proposer un superbe Week-end !
Rendez-vous les 17/18 et 19 Septembre prochain !
Merci à tous
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Wilou
Webmaster
Le tirage au sort du quart de finale de Coupe Davis entre la France et l'Espagne a eu lieu jeudi midi à l'Hôtel de Ville de Clermont-Ferrand. Comme attendu, ce sont Gaël Monfils et Michaël Llodra qui ont été désignés pour disputer les simples, tandis que la paire Julien Benneteau - Michaël Llodra disputera le double, samedi. Vendredi, à 13h00, Monfils ouvrira donc le bal contre David Ferrer, avant que Llodra ne soit opposé à Fernando Verdasco.
Le programme :
Vendredi (13h00) :
Gaël Monfils - David Ferrer
Michaël llodra - Fernando Verdasco
Samedi (14h00) :
Julien Benneteau/Michaël Llodra - Feliciano Lopez/Fernando Verdasco
Dimanche (13h00) :
Gaël Monfils - Fernando Verdasco
Michaël Llodra - David Ferrer
source: sports.fr
Une petite vidéo sur l'équipe.fr => www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20100707_110245_les-bleus-au-travail.html
Après le tennis-ballon sur le court, le ballon a accompagné le dîner officiel des équipes de France et d'Espagne à Clermont-Ferrand. Entre deux tapas, Julien Benneteau, Gilles Simon, Michaël Llodra, Gaël Monfils, Jérémy Chardy et David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et Nicolas Almagro ont donc partagé le match de Coupe du monde entre l'Espagne et l'Allemagne. Après le repas centré sur le ballon, Guy Forget a recentré le débat sur la petite balle jaune avec l'annonce à ses joueurs de la composition de son équipe en rentrant à l'hôtel.
En l'absence de Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet, Gaël Monfils et Michaël Llodra tiennent la pole position pour jouer ce vendredi. « Il n'y aura pas d'énormes surprises d'un côté comme de l'autre », annonce le capitaine. Info ou intox ? Dans cette logique, le spécialiste des surfaces rapides en indoor et le plus capé en Coupe Davis, Michaël Llodra, et le numéro 1 français au classement, Gaël Monfils, apparaissent légitimes. Et cette histoire de numéro ou de leader n'intéresse pas vraiment La Monf' : « Je suis numéro 1 par le classement, mais Mika est davantage le numéro 1 en ce moment. Il a gagné beaucoup de matches et c'est une surface qui lui convie complètement. Il a beaucoup d'expérience que nous tous en Coupe Davis. Si on doit parler de numéro 1 ou de leader, cela reste Mika. Mais il n'y a pas de numéro 1 ou de leader. C'est l'équipe de France, mais cela reste un sport individuel. Sur le terrain, on est tout seul. Chacun essaie de gagner son point. »
Et pour gagner des points, il faut déjà se sentir à l'aise sur la surface. Sans en faire une obsession, la surface est un peu moins rapide que prévue. Une bonne nouvelle pour Gaël Monfils, une moins bonne pour Michaël Llodra. Pour la Monf', l'adaptation est plus progressive : « C'est une surface un peu plus rapide avec un rebond plus bas. Peu importe qu'on aime ou pas. Je m'habitue de plus en plus, je trouve mes marques de mieux en mieux chaque jour. C'est plutôt positif. » Il n'a plus mal aux genoux et retrouve du plaisir sur le court. Pour tester la machine, il a donc choisi de réaliser des entraînements longs et poussés : « Cela revient petit à petit.»
Le classement, l'expérience, les entraînements... Quels sont les critères de sélection de Guy Forget ? C'est un savant mélange de forme du moment et de solidité à plus long terme. « On ne peut pas prendre un joueur en se disant qu'il est capable de faire un grand match dans un bon jour. Il faut regarder la moyenne d'un joueur et se dire celui-là va produire tel tennis et il peut aller là-haut. Contre les Espagnols, on doit tous aller là-haut. J'attends d'eux qu'ils prennent des risques, prévient le capitaine, satisfait de la préparation. On ne battra pas l'Espagne si on est attentiste et prudent. Il faut que cela passe ou cela casse, mais on ne peut pas quitter Clermont-Ferrand avec des regrets par rapport aux intentions. » Le message est clair : la prime à l'audace.
Source : www.lequipe.fr
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Wilou
Webmaster
Victime de douleurs dorsales, Paul-Henri Mathieu a été remplacé par Jérémy Chardy pour affronter l'Espagne, les 9, 10 et 11 juillet à Clermont-Ferrand. Ce forfait complète la longue liste des absents : Rafael Nadal, Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet. L'équipe de France sera donc composée de Julien Benneteau, Michaël Llodra, Gaël Monfils et Gilles Simon.
source: lequipe.fr
Gilles Simon et Paul-Henri Mathieu ont été sélectionnés par Guy Forget, le capitaine de l’équipe de France, en remplacement de Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet, tous les deux forfaits, pour affronter l’Espagne à Clermont-Ferrand, en quart de finale de la Coupe Davis, les 9, 10 et 11 juillet prochains.
Après une nuit de réflexions, Guy Forget a trouvé la solution pour remplacer Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet en équipe de France. Il fait donc appel à Gilles Simon et Paul-Henri Mathieu. Ces deux joueurs rejoignent ainsi Julien Benneteau, Michaël Llodra et Gaël Monfils.
"J’ai choisi Gilles Simon et Paul-Henri Mathieu pour différentes raisons, commente le capitaine tricolore. Les deux ont de l’expérience. Ils ont un bon niveau de jeu. Gilles a retrouvé son intégrité physique et ça c’est un point positif. J’ai envie de les voir s’adapter à cette surface rapide. Je ferai ma sélection par rapport à la manière dont ils taperont la balle sur cette surface."
Guy Forget a en effet la possibilité d'arrêter définitivement sa sélection le jour du tirage au sort, le jeudi 8 juillet.
Source : www.fft.fr
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Wilou
Webmaster
Double coup dur pour l'équipe de France de Coupe Davis. Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet sont forfait pour le quart de finale face à l'Espagne, du 9 au 11 juillet. Le numéro un Français souffre du genou gauche et sera indisponible au moins deux mois. Quant à Richard Gasquet, il n'en a pas fini avec ses problèmes de dos. La FFT devrait annoncer l'arrivée de deux nouveaux joueurs dans le groupe qui se rendra à Clermont-Ferrand dès dimanche.
source: rmcinfo
Jo-Wilfried Tsonga sera-t-il présent contre l'Espagne lors du quart de finale de Coupe Davis à Clermont ? Pas sûr. Le Français, diminué par une blessure au poignet pendant Wimbledon, pourrait déclarer forfait, comme Rafael Nadal avant lui. Aucune décision officielle n'a été prise.
L'équipe de France sera-t-elle privée de son leader, Jo-Wilfried Tsonga, face à l'Espagne, qui est elle privée de Rafael Nadal ? C'est possible, selon nos sources. Plus diminué qu'il ne l'a déclaré pendant Wimbledon, où il a souffert notamment du poignet en huitièmes de finale, JWT pourrait envisager de déclarer forfait. Aucune décision n'est prise, mais il faut prendre désormais cette possibilité en considération. Sachant que Gilles Simon était déjà forfait et que Richard Gasquet, touché au dos, pourrait lui aussi renoncer à sa place de remplaçant, les Bleus se trouveraient en position inférieure face à une équipe composée notamment de Fernando Verdasco, David Ferrer. A suivre.
source: eurosport.fr
Battu en quarts de finale de Wimbledon par Andy Murray, Jo-Wilfried Tsonga a fait état de petits pépins physiques. Mais le n°1 français a assuré qu'il ferait tout pour être à Clermont-Ferrand.
Pendant deux sets contre Andy Murray, Jo-Wilfried Tsonga a évolué à son meilleur niveau. Variant le jeu, très offensif (quels enchaînements service-volée !), le n°10 mondial a donné la leçon au n°4. "Deux sets exceptionnels", a savouré Guy Forget le capitaine de l'équipe de France.
Puis un mauvais jugement, et le gain du deuxième set a glissé entre les doigts du protégé d'Eric Winogradsky. Remis dans le coup, Murray a alors à son tour donné la pleine mesure de son talent au fur à mesure que Tsonga s'éteignait physiquement.
Cette baisse de régime a inquiété à neuf jours du quart de finale de Coupe Davis contre l'Espagne. En conférence de presse, Jo-Wilfried Tsonga a reconnu avoir ressenti quelques bobos, tels une douleur au pouce et une autre au genou. Mais il s'est voulu rassurant, expliquant que le quotidien d'un joueur de haut niveau est parsemé de ce genre de problèmes.
"Je vais passer des examens sur Paris, a-t-il poursuivi. Mais je suis motivé à 300% et je vais tout faire pour y être." L'équipe de France attend de pied ferme son leader.
source: fft.fr
- Gaël Monfils souffre encore un peu d’un genou et Richard Gasquet vient tout juste de reprendre après avoir dû renoncer à Wimbledon en raison de douleurs au dos. Vous ont-ils rassuré sur leur état de santé ?
- Oui, ça évolue plutôt dans le bons sens. Mais c’est aussi pour cette raison que ce n’est pas un luxe de préparer cinq joueurs pour une telle rencontre. D’une part, il y a un aspect physique qui peut, à un moment donné, être un problème, notamment si un joueur n’est pas en pleine possession de ses moyens. D’autre part, par rapport aux simples, mais également au double, je peux avoir différentes options. On ne sait pas non plus qui va jouer exactement en face, côté espagnol. Je pense donc qu’il est intéressant de s’offrir une certaine flexibilité. En sachant qu’au niveau du jeu, les gars sont assez proches les uns des autres.
- Pour cette rencontre, vous aviez même l’embarras du choix, avec Paul-Henri Mathieu, Gilles Simon qui rejouent bien, voire même Jérémy Chardy. N’avez-vous pas envisagé de prendre un sixième joueur ?
- Effectivement, j’y ai pensé. Si l’un des cinq joueurs retenus avait un pépin physique, j’en appellerai un autre immédiatement. Mais je pense qu’avec ces cinq-là, on a de quoi voir venir !
- Autant le bilan français après Roland-Garros était morose, autant la saison sur gazon est de nature à vous rassurer…
- Ce n’est pas nouveau. Depuis quelques années, les Français ont souvent mieux joué sur herbe que sur terre battue. Quand on me parlait de l’échec des Français à Roland-Garros cette année, je répondais : « Vous allez voir, cela se passe souvent mieux à Wimbledon et on se met alors à parler de leurs bons résultats sur gazon. » Et cela a effectivement été le cas pour les meilleurs et pour les autres. Depuis deux ans, excepté peut-être Gaël (Monfils) qui joue vraiment bien sur terre battue, les autres ont enregistré des résultats mitigés sur cette surface. Or, sur gazon, la plupart des Français jouent bien.
- Que pensez-vous de Jo-Wilfried Tsonga qui brille actuellement à Wimbledon ?
- Il joue bien, il n’a pas de pépins physiques. Ce n’était pourtant pas évident parce qu’il n’avait pas joué depuis Roland-Garros. Maintenant, son quart de finale contre Murray va être un bon test pour lui. Il ne sera pas favori. C’est bien d’être arrivé là en battant des joueurs que tu étais censé battre, parce que tu as quand même un peu de pression sur les épaules. Mais maintenant, c’est tout bonus pour lui. J’espère vraiment qu’il va faire un gros match contre Murray.
- Vous affrontez l’Espagne, qui est probablement la meilleure équipe du monde. Elle reste sur deux victoires d’affilée en Coupe Davis, elle compte cinq joueurs dans le Top 20. Pourtant, on sent un vrai vent d’optimisme autour de l’équipe de France, qu’il y a vraiment quelque chose à faire…
- Avant le forfait de Nadal, objectivement, les Espagnols étaient beaucoup mieux que nous. Chez les coaches et les bookmakers, ils étaient vraiment favoris. Aujourd’hui, l’écart se resserre. C’est plutôt quelque chose de positif, mais même sans son numéro 1, cette équipe reste très forte. D’ailleurs, quand les Espagnols avaient battu l’Argentine en finale en 2008, Rafael Nadal n’avait pas joué. C’est Verdasco et Lopez qui avaient fait gagner l’équipe. Donc même sans Nadal, l’Espagne est capable de remporter le titre. Elle sera un peu moins forte sans lui, pour autant, elle demeure favorite et nous, on a envie de la faire tomber, de l’empêcher de faire la passe de trois.
« Il faut provoquer la chance »
- Le choix de la surface est capital face à une telle équipe…
- Il n’aurait pas été « futé » de notre part de les jouer sur terre battue, en extérieur à Roland-Garros ! On a même songé, à un moment donné, construire un terrain en dur sur le court Philippe-Chatrier à Roland-Garros. Mais jouer en extérieur n’est pas forcément quelque chose qui les dérange. Or, on a vu par le passé que nos joueurs ont souvent très bien joué en indoor. Dans ces conditions, pourquoi se prendre la tête ? On s’est dit : « Allons jouer là où on joue très bien et où les Espagnols sont un peu moins à l’aise. » Tout en sachant que le court à Clermont-Ferrand ne sera pas non plus une toile cirée !
- Quelle est exactement la surface choisie ?
- C’est une surface proche de celle utilisée au BNP Paribas Masters à Bercy, mais un peu plus rapide. L’ITF nous impose des normes concernant la vitesse. Dans la fourchette autorisée, on s’est donc orienté vers quelque chose de relativement rapide.
- Quels seront les points forts de votre équipe face à l’Espagne ?
- La capacité de mes joueurs à pouvoir pratiquer un jeu d’attaque performant, et là je pense à chacun d’entre eux ; un jeu physique ; un niveau technique qui n’est pas du tout inférieur à celui des Espagnols, au contraire. Après, il y a bien sûr le fait de jouer devant notre public, à Clermont-Ferrand dans une salle que l’on connaît bien, avec un public qui sera derrière nous. C’est indéniablement un atout supplémentaire.
- Les billets pour la rencontre ont été vendus en quelques heures. Cet engouement extraordinaire vous donne-t-il envie de faire encore plus ?
- Oui, c’est fabuleux ! On a toujours eu en France, et notamment à Clermont-Ferrand où l’on a dominé la Roumanie au premier tour en 2007, un soutien fabuleux de la part du public. Franchement, on est ravis d’aller disputer cette rencontre là-bas. Contre l’Espagne la dernière fois (NDLR : en demi-finale en 2004), dans les arènes d’Alicante, c’était vraiment pénible ! Là, la tendance sera inversée.
- Justement, cette rencontre à Alicante en 2004 est la dernière demi-finale disputée par l’équipe de France en Coupe Davis. Cela remonte à quelques années…
- Oui, mais quand on regarde notre parcours depuis, je crois qu’on était à notre place. Les choses n’arrivent pas par hasard. Dans les tournois, la logique est souvent respectée. Là, contre la meilleure équipe du monde, c’est une affiche exceptionnelle. De telles rencontres, dans une carrière, on n’en joue pas vingt-cinq ! Je le redirai aux joueurs bien sûr, mais j’espère qu’ils vont pleinement prendre conscience que c’est rare. J’espère donc qu’on saura saisir notre chance ce jour-là. Parce que quand on rejouera les Espagnols ensuite, ce sera chez eux et les choses seront beaucoup plus complexes…
- Avez-vous le sentiment de diriger l’équipe de France au plus fort potentiel depuis longtemps ?
- Le plus fort potentiel, ça ne veut pas dire grand chose. Je me méfie beaucoup de ce genre d’affirmation. Cela fait déjà trois ou quatre ans que l’on parle de cette notion de plus fort potentiel. Mais le potentiel est une chose et ce qu’on met dedans en est une autre. Et puis, il y a surtout la capacité de tout le monde à bien jouer en même temps. C’est très fragile tout ça, parfois très éphémère. Il faut que tout se « goupille » bien en même temps. Il y a eu des moments où l’on était tous prêts, où tout le monde jouait bien, mais il n’y avait pas de rencontre à ce moment-là. Et quand on a disputé le match, un mois et demi plus tard, les joueurs n’étaient plus en forme, certains étaient blessés.
D’autres fois, avec des équipes moins fortes sur le papier, il nous est arrivé de gagner l’épreuve parce qu’on avait eu un bon timing, un peu de chance aussi. Il faut provoquer la chance. Ce quart de finale est, pour nous, presque une finale avant l’heure. Mettons-nous dans la peau d’une équipe qui dispute une finale de Coupe Davis face à l’Espagne. On n’a rien à perdre et il faut vraiment l’affronter avec un esprit conquérant.
Source : www.fft.fr
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