France - Israel : les 1er-2 et 3 Février 2013 : Ville non définie pour le moment !

L’équipe de France recevra l'Israël pour le compte du 1er tour de la Coupe Davis 2013 les 1er / 2 et 3 février prochain. La ville d'accueil de la rencontre n'est pas connue pour le moment, dès que la Fédération Française de tennis nous communiquera celle-ci, l'ASEFT travaillera activement pour préparer la rencontre.

L'équipe de l'ASEFT

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Article du site de la FFT :

En cas de qualification, les Bleus affronteront en quarts de finale les 5, 6 et 7 avril 2013, le vainqueur du match Argentine-Allemagne, soit à l’extérieur si les vainqueurs sont les Sud-Américains, soit à domicile face à nos voisins allemands. Au-delà, si tout se passe bien, l’Autriche, le Kazakhstan, la Suisse ou la République Tchèque seront sur notre route en demi-finale.

Mais, en homme avisé, le nouveau capitaine de l’équipe de France, Arnaud Clément, doit avant tout préparer la rencontre face à Israël. Classé 10^e parmi les nations participantes à l’épreuve, la formation israélienne constitue une menace à ne pas négliger. Dans le groupe II la saison dernière, Israël a obtenu de revenir dans le groupe mondial en battant le Portugal (3-2) et le Japon à Tokyo (3-2) lors des barrages.

L’équipe du capitaine Eyal Ran, s’appuie depuis deux ans sur une groupe de quatre joueurs : Dudi Sela (104^e) et Amir Weintraub (183^e) en simple et une équipe de double très expérimentée composée de Jonathan Erlich et d’Andy Ram. C’est avec cette équipe (Harel Levy remplaçant alors Weintraub) qu’Israël avait réussi sa meilleure performance en Coupe Davis, il y a 3 ans. Ils avaient alors atteint les demi-finales, s’inclinant face à l’Espagne après avoir triomphé de la Suède et de la Russie.  

A ce jour, jamais une équipe d’Israël n’a battu les Bleus. Lors des trois confrontations précédentes, les Français se sont toujours qualifiés relativement aisément : 4-1 à Tel Aviv en 1989, 5-0 à Rennes en 1991 et 4-1 à Ramat Hasharon en 1998.

A noter qu’en 1991, cette affiche marquait à la fois les débuts du capitanat de Yannick Noah et ceux d’une campagne inoubliable qui devait se terminer en apothéose à Lyon. De bon augure pour le capitaine Clément.

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